Dernier ->BON<- flim vu - Poooooool !

Voilà je me propose (et je vous propose par la même occasion) de raconter - sans spoiler ... - et de parler des dernier Flims que vous avez vus.

Je commence donc pour vous parler d'un flim matté hier soir avec Punky et Grignou à Limoges.






Le premier, K-19, (affiche ci-dessus) raconte les pérégrinations du fleuron de la marine soviétique le ... K-19 vous l'auriez deviné, sauf Caeron qui est plus bête que les autres !

Le K-19 va subir une épreuve du feu plutôt éprouvante (vive les redondances lourdes). N'oublions pas que comme tous les sous marins de l'époque (1961/1962) il se devait d'avoir un moteur atomique et des missiles bardés de plutonium rigolard.

Mais n'oublions jamais que si les soviétiques avaient de très bonnes idées d'armes kitutous, leurs réalisations étaitent rarement à la hauteur desdites idées, et malgré la force théorique du K-19 celui-ci se retrouve composé de 25% de carton ... Ce qui n'est pas génial.

Donc voilà pour l'histoire, maintenant l'avis.

Bon effectivement nombreux seront ceux qui hurleront à la mort en repensant au magistral A la poursuite d'Octobre Rouge, c'est vrai que nombres de choses s'y rapportent :

L'URSS, les sous-marins, le fleuron de la marine soviétique en jeu, un des memebres de la famille Jones au commandes dudit fleuron ...

Tout est fait pour faire de ce flim un pastiche sans saveur, mais seulement, ce n'est pas le cas !

Et bien, c'est un peu la surprise de la semaine, car ce flim qui s'anonçait dans ma tête plutot nanard s'est révélé très intéressant, éprouvant et bien réalisé. La performance d'acteur est plutôt réussie et le mariage Harrisson Ford/Sam Neil plutot intéressant.

Je n'ai pas vraiment pu goûté aux joies de la V.O., Pierre y étant allergique en soirée, alors je ne jugerai pas la vigueur des dialogues, surtout que Sam Neil avec la voix française de Schwarzy ça choque un peu ...

Bref, un bon choix pour une soirée DVD surtout pour les nostalgiques de Nagasaki qui retrouveront les fameux bubons atomiques de leur enfance dans les cales de ce sous marin dernier cri !!!!

alors les limougeots maintenant on attend votre avis sur "v comme vendetta"

Vi vi vi je vais faire ça ce soir

Ah ben non en fait


Bon je vais donc recommencer avec les avis sur les Flims.


Dernier flim vu avec Fred et mon popa :




Synopsis :

Dans les temps turbulents précédant la chute de la légendaire civilisation Maya.

Jeune père porteur de grandes espérances, chef de son petit village, Patte de Jaguar vit une existence idyllique brusquement perturbée par une violente invasion. Capturé et emmené lors d'un périlleux voyage à travers la jungle pour être offert en sacrifice aux Dieux de la Cité Maya, il découvre un monde régi par la peur et l'oppression, dans lequel une fin déchirante l'attend inéluctablement.

Poussé par l'amour qu'il porte à sa femme, à sa famille et à son peuple, il devra affronter ses plus grandes peurs en une tentative désespérée pour retourner chez lui et tenter de sauver ce qui lui tient le plus à coeur.


L'avis de mon siège :

Si l'on enlève à ce film le fait qu'il ne marquera jamais les mémoires et c'est tant mieux, j'ai été assez surpris. Assez surpris parce que jamais je ne me serai attendu à ne pas être déçu devant ce flim. Je l'avai assez redouté mais en fait ça se regarde.

Les principaux défauts du cinéma de Mel Gibson sont tous aux rendez-vous : Du sang partout et surtout quand c'est inutile, un VO obligatoire parce que voila mon cinéma c'est un peu la vérité, une incompréhension totale des civilisations et époque dont il parle, et surtout, une chrétienté toujours victorieuse à la fin.

Si l'on fait fit de tout cela en attachant son cerveau au bout de la laisse à l'entrée ça va on peut passer une séance tranquille.

Bref, attendez vous à voir un flim qui ne respecte absolument pas la civilisation Maya qui est quand même autre chose qu'une simple civilisation de guerre de torture de massacre et de souffrance. Et attendez aussi vous à voir le mythe du bon sauvage, mythe complêtement européen et transposé à une tribue amérindienne quelconque.


En résumé :

Film à voir au cinéma (pour les images) ou à ne pas voir !

V pour Vendetta : un film a voir ne aps se laisser prendre par la bande annonce qui , a mon avis, dessert completement le flim.

tout à fait d'accord avec toi pour la bande annonce nule!

sinon j'ai vu C R A Z Y
c'est un super film...
une famille aux USA de 5 garçon dont l'un est homo et apprend à vivre avec sa "difference" le tout dans les années 70'...

et le caïman
pas terrible un film sur un film qui est sensé faite la satyre de Berlusconi... bof

LE Caiman c'est un film de Nani Moretti .. Je suis fan de ce gars, c'est toujours à prendre au 1000000eme degrès, il avait déjà tenté de faire un film comme le ïman mais en fait il passait son temps à hésiter entre un film politique et une comédie musicale américaine des années cinquante. Le résultat est terrible

De même la chambre du fils, du même auteur, est à voir.

Dernier film vu (euh ...) Rocky Balboa :

J'ai trouvé ce sixième volet de la sage Rocky bien, les fans diront peut-être "trés bien".

Sinon j'ai vu Le Dahlia Noir :

Alors là, c'est mon coup de coeur. Un film vraiment excellent, une trés belle réalisation avec un jeu des acteurs parfait, ... A voir !

Dernier flim vu avec mon popa ce soir même :




Synopsis :

Alors qu'il purge une peine de prison pour ses trafics, Archer rencontre Solomon Vandy (Djimon Hounsou), un pêcheur d'origine Mende.

Arraché à sa famille et forcé de travailler dans les mines diamantifères, ce dernier a trouvé- et caché- un diamant rose extrêmement rare.

Accompagnés de Maddy Bowen (Jennifer Connelly), une journaliste idéaliste, les deux hommes s'embarquent pour un dangereux voyage en territoire rebelle pour récupérer le fameux caillou.

Un voyage qui pourrait bien sauver la famille de Salomon et donnait à Acher la seconde chance qu'il n'espérait plus.


L'avis de mon siège :

Alors bon. Après Apocalypso, un film ne peut pas être mauvais, du moins c'est ce que je pensai.

Et effectivement, Blood Diamond s'avère être un très bon film. Déjà, au point de vue du propos, éminemment politique et donc pricipalement intéressant.

Il est vrai q'uon peut critiquer le côté hollywoodien du cinéma qui veut que les gentils gagnent toujours à la fin, mais si l'on ne veut pas voir ça on ne va pas voir de film hollywoodien et on se la ferme. Non, décidément j'aime bien ce film, il m'a permi de passer un agréable moment ... Enfin ... pas vraiment si agréable que ça vu le nombre de massacres auquels on assiste.

Et puis bon, voir di Caprio tenter à chaque fois de fuir son image de petit minet pour film concon à midinette c'est toujours un truc à voir.


En résumé :

Film à voir véritablement. Evidemment la profondeur du propos ne casse pas non plus des briques et le mal est connu de tous (j'espère), mais le résultat est là, le film est intéressant et captivant. Il reste encore et toujours cette vision américaine de l'Afrique impitoyable, malgré l'évidente bonne volonté du réalisateur à s'en éloigner, mais ce n'est pas trop génant.

bon derneir film vu

shade les maitre du jeux
triche et arnaque en tous genre
excellent a voir

hackers
les mec (et les filles) pirate plus vite que leur ombre
marrant

crime arnaque et botanique
comment se faire mass tune en une semaine
excellent a voir

la chute du faucon noir
la delta force s'en sort toujours
un film de guerre de plus ...mais pas le plus mauvais

Parcouru de bout en bout d'une incroyable énergie vitale, Tarnation est un journal intime filmique intégrant dans une forme audacieuse tous les supports - tirage photo, super-8, vidéo, DV... - par lesquels Jonathan Caouette a enregistré sa vie traumatique. Le film est aussi un chant d'amour par lequel le cinéaste tente de se mettre à distance de sa mère Renée.

« Tarnation représente ce que je rêvais de voir depuis les années soixante-dix », réagit immédiatement Gus Van Sant lorsqu'il lui fut demandé, en 2003, de devenir producteur exécutif du film dont il venait de visionner un pré-montage. Sans doute le réalisateur de My Own Private Idaho, de Gerry et de Elephant ne voyait-il pas en l'œuvre de Jonathan Caouette une nouvelle variation formelle brillante sur le thème de la juvénilité américaine, mais bien plutôt une œuvre importante dans les trois dernières décennies de l'histoire du cinéma.

Jonathan Caouette est un jeune garçon de onze ans lorsqu'il tourne un de ses tout premiers films. Une courte séquence dans sa salle de bain où, travesti, il joue de façon étonnamment réaliste les angoisses de sa mère effrayée à l'idée de se faire à nouveau battre par son compagnon. Jonathan, en effet, est le fils d'une beauté texane du nom de Renée LeBlanc, ex-enfant mannequin tombée du toit de sa maison à l'adolescence, et que ses parents voulurent soigner à coups d'électrochocs. Né d'un mariage éphémère, il assiste au viol de sa mère avant de vivre son enfance dans une famille d'accueil qui le maltraite, tandis que Renée passe ces années à être ballottée d'un hôpital psychiatrique à un autre. Vers l'âge de 10 ans, Jonathan retourne chez ses grands-parents, qui l'élèvent en l'absence de Renée.

Si Jonathan n'en a pas fini avec les expériences traumatiques - l'absorption de deux joints chargés au PCP le plonge durablement dans un état de dédoublement de personnalité -, il commence dès lors à filmer. La caméra devient pour lui une bouée de sauvetage à laquelle il se rattache pour mieux s'extirper d'une vie douloureuse. Une bouée de sauvetage qui prend aussi la forme d'un regard tiers, celui qui impose une exigence accrue dans la qualité de ce qui est vécu, car ce qui est vécu est dès lors susceptible d'être montré.

Il n'est pas anodin, à ce titre, que Tarnation soit un film autobiographique écrit à la troisième personne. Les incrustations de textes, qui scandent presque l'entier déroulement du film, racontent la vie de Jonathan comme s'il s'agissait d'un personnage de fiction. De même, les scènes filmées de la vie du réalisateur, les photos de ses premières sorties en boîte homo, les prises super-8 montées au ralenti de sa mère dansant dans la propriété familiale, s'articulent aux images - clips ou feuilletons - vues à la télévision durant son adolescence. Ensemble, elles finissent par élaborer un kaléidoscope d'images et de sons projetés sur l'écran et décrivant les blessures intimes de l'auteur, une narration cinématographique où le récit ne cesse de le disputer à la vie.http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=18370990&cfilm=55775.html

Dernier flim vu avec mon popa hier soir :




Synopsis :


En 1945, le correspondant de guerre américain Jake Geismer débarque à Berlin pour couvrir la conférence de Postdam où les Alliés décideront du sort de l'Allemagne vaincue, parleront de l'avenir de l'Europe... et se disputeront âprement les restes du gâteau.

Quelques années plus tôt, Jake dirigeait une agence de presse à Berlin et eut dans cette ville une liaison avec la belle Lena, mais tout cela semble bien éloigné, car la guerre a souillé, meurtri et ravagé ce que chacun avait de plus de cher.

Et l'après-guerre poursuit ce travail de sape, qui affecte aussi bien les vaincus, usés par les privations, la peur et les compromissions, que les vainqueurs, décidés à se "payer sur la bête".
Le chauffeur de Geismer, le caporal Tully, est l'un de ces profiteurs, rompus à toutes les combines, livrant dans chaque secteur de Berlin petits secrets et produits de contrebande. Plus triste, il est devenu l'amant de Lena, une Lena que Jake trouve bien changée, étrangement lointaine et comme indifférente à son sort.

Lorsque Tully se fait tuer dans le secteur russe, en possession de 100 000 marks, Jake est aussi surpris que choqué de voir les Américains et les Russes classer l'affaire en un clin d'oeil. Il décide d'élucider cette mort mystérieuse, qui le rapproche insensiblement de Lena, ses secrets et ses mensonges.


L'avis de mon siège :


EXCELLENT FLIM !

Vraiment. Le meilleur film que j'ai vu depuis des mois. Les choix de mises en scènes sont radicaux et ça c'est énorme. C'est filmé comme les grands film des années 50, c'est en noir et blanc, et très peu de gris. Les acteurs sont grandioses, l'histoire est géniales, les dialogues pareils, et putain pour une fois qu'on voit Berlin quelques jours après la guerrre... Ca décoiffe.

Je peux pas dire grand chose de plus, mis à part que j'étais tellement canné que j'ai du lutté un peu au début pour rester éveillé, mais ce n'est pas la faute du film, je me serai endormi devant n'importe quoi de tout façon.

Ne loupez pas ce film, de toutes façon ne loupez jamais un Soderbergh, ce gars a encroe prouvé une fois de plus que son cinéma, c'est pas de la merde.


En résumé :


Exceptionnel ! Rah du ciné sans effets spéciaux ultimes de la mort qui tue, sans scènes de bastons, sans autres choses que d'excellentissimes acteurs qui jouent un rôle ...

C'est incroyable ...

Dernier film vu en DVD : Kiss Kiss Bang Bang

Si, si c'est un film qui existe



Trés bon film, à voir !

Edit : 22h06 ...

On dit que l'amour et l'argent ne font pas bon ménage, mais on ne peut pas en vouloir à Harry Lockhart d'essayer.
Il est subitement propulsé d'une vie de voleur à la semaine, à Hollywood où il deboule en auditionnant par accident pour le rôle d'un flic.
Pour le former, il est confié à un vrai détective privé, chouchou du showbusiness.
A present, tout ce que Harry a à faire est de convaincre la fille de rêve qu'il rencontre qu'il est un véritable détective et essayer de ne pas trébucher sur les cadavres quand le film laisse place à la réalité.

Film réalisé par Shane Black, auteur de l'arme fatale avec Val Kilmer dans le rôle du détective, Robert Downey dans le rôle de Harry et Michelle Monaghan. Ces personnages forment un trio mal assortis : un détective gay dur à cuire, un intrigant naïf et une actrice s'accrochant tant bien que mal à son rêve.

En bref des personnages pour le moins délirant, avec des séquences d'action invraisemblables et des dialogues inimitables

ffa raconte quoi

C'est bon, j'ai donné une petite description !

Bon j'ai pas mass envie de poster de longue s pages (la flemme tout ça) mais allez voir SUNSHINE ! C'est un flim qu'il est magique !

j'ai adoré... vraiment un beau film sensible et drole! enfin je sais pas si on parle du même! Little miss Sunshine?

non !



SUNSHINE !

De danny Boyle

c'est pas le même genre...